Vraiment, les Weaver, une famille américaine de New Castle, dans le Kentucky, devraient passer à la télévision dans une émission sur les miraculés de la route. Le fils a survécu à une chute dans un ravin... il s'en est sorti avec plus de peur que de mal. La voiture de l'épouse s'est retournée... et personne n'a été blessé. Il y a même un arbre qui est tombé sur le capot de la voiture du père... sans parvenir à la détruire totalement !
« Nous tenons à remercier Volvo, leurs voitures peuvent sauver des vies, » n'hésite pas à affirmer Richard Weaver.
À n'en pas douter, les Weaver sont d'authentiques fans de Volvo. Depuis 1994, ils en ont eu huit.
Et Richard Weaver est aujourd'hui fermement convaincu que si sa famille avait utilisé d'autres voitures, tout le monde ne serait pas là pour en parler. Car ces dernières années, plusieurs accidents sont venus perturber leur quotidien. Mais - touchons du bois - tout s'est toujours bien terminé... pour eux, mais pas pour leurs Volvo !
C'est Jeremy, le fils, qui a ouvert le bal en 1994. Il n'avait que 17 ans, livrait des pizzas et venait tout juste d'acquérir sa première voiture, une Volvo 240.
Un soir de pluie, lors de sa tournée de livraison, le voilà qui, par malchance, sort de la route et dévale une terrible pente raide d'une dizaine de mètres avant d'être arrêté à mi-chemin par des arbres.
« En tentant de s'extraire de la voiture, il s'est agrippé à quelque chose qui s'est avéré être une croix. Au même endroit, quelqu'un avait eu un accident et s'était tué ! » révèle Richard Weaver.
Il fallut deux dépanneuses-grues pour ressortir la voiture du ravin. Elle fonctionnait encore ! Elle était même si peu abîmée que Jeremy put reprendre sa tournée de pizzas.
Aujourd'hui, Jeremy a 30 ans. Il ne livre plus de pizzas mais conduit toujours une Volvo, une 850.
Plus récemment, la fille de Richard et Nancy, qui vit à Dallas, était revenue à New Castle avec son fils. En fin de séjour, Nancy avait convenu de les reconduire à l'aéroport au volant de sa Volvo S70.
Soudain, sur l'autoroute, Nancy, un peu distraite, fut surprise par un bouchon et perdit le contrôle de sa voiture à environ 105 km/h. Catastrophe !
« La voiture était fichue, retournée comme une crêpe. Ma fille avait frappé la vitre passager de la tête mais sans conséquences et nous avons pu sortir tous les trois de la carcasse, » raconte la miraculée.
Quelques jours avant cet événement, le Kentucky avait subi toute une série de tempêtes et d'orages et un arbre était tombé sur la Volvo préférée de Richard, une 740 GLE de 1985. Heureusement, Richard ne s'y trouvait pas à ce moment-là.
« Une très mauvaise semaine pour nous ! Mais le fait d'avoir reçu un arbre sur le capot n'avait pas rendu la voiture inutilisable. Irrécupérable, ça oui. Pauvre voiture. Elle était comme la prunelle de mes yeux. Il faut dire qu'elle avait près de 500 000 miles (800 000 km), » avoue Richard Weaver.
Pas question pour les Weaver de se passer de Volvo. Richard a donc commencé par se rendre à Dallas en avion pour emprunter la 240 de leur fille, prenant 14 heures pour la ramener par la route au Kentucky.
Il s'est ensuite rendu à Atlanta, en Géorgie, pour acquérir une Volvo V70R noire de 1998, prenant cette fois huit heures pour revenir.
« Je suis heureux et me sens honoré de rouler en Volvo. Vos produits ont contribué à protéger ma famille. Je pense que vous construisez les meilleures voitures du monde au prix le plus raisonnable et ‘Volvo for Life' est vraiment un slogan qui parle vrai, » conclut Richard Weaver.
